Détails sur le Vies minuscules - Si vous avez décidé de trouver ou lire ce livre, ci-dessous sont des informations sur le détail de Vies minuscules pour votre référence : Vies minuscules a été écrit par Pierre Michon qui connu comme un auteur et ont écrit beaucoup de livres intéressants avec une grande narration. Vies minuscules a été l'un des livres de populer Cette année. Il contient 248 pages et disponible sur format E-Book, Hardcover. Ce livre a été très surpris en raison de sa note 4.4 et a obtenu environ 696 avis des utilisateurs. Donc, après avoir terminé la lecture de ce livre, je recommande aux lecteurs de ne pas sous-estimer ce grand livre. Vous devez prendre Vies minuscules que votre liste de lecture ou vous serez regretter parce que vous ne l'avez pas lu encore dans votre vie. Voici l'identifiant du livre que vous pouvez utiliser pour rechercher ce livre sur le marché ou un autre vendeur de livres, isbn: 2070401189, ean: 9782070401185 ou asin: 2070401189.
Vies minuscules par Pierre Michon ont été vendues pour EUR 7,20 chaque exemplaire. Le livre publié par Gallimard. Il contient 248 pages et classé dans le genre Folio. Ce livre a une bonne réponse du lecteur, il a la cote 4.4 des lecteurs 696. Inscrivez-vous maintenant pour accéder à des milliers de livres disponibles pour téléchargement gratuit. L'inscription était gratuite.
Le Titre Du Livre : Vies minuscules
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Description du livre Vies minuscules : Dans l'épaisseur des personnages - 12 internautes sur 12 ont trouvé ce commentaire utile.Dans l'épaisseur des personnages
Par J.B.
Les vies sont minuscules mais les personnages ont de l'épaisseur. On hésite entre s'émerveiller du texte et rouspéter contre sa lourdeur, entre abus et abondance. L'art littéraire de Pierre Michon est celui de la phrase interminable, de l'évocation plus que de la description, on en a pour son pesant de littérature. On s'énerve à se perdre, il faut reprendre la page ou plusieurs pages pour retrouver le ou les sens, redémarrer au début du chapitre, décortiquer les sens qu'il entrecroise pour son plaisir, On menace d'abandonner quand une phrase lumineuse et savoureuse nous relance dans la lecture. A des endroits, on a l'impression que Pierre Michon en fait trop, qu'il se gargarise, puis à d'autres qu'il touche au sublime. Il faut du temps et de la concentration pour être récompensé de l'effort. Huit vies. Huit noms, à peine écrits en titre des chapitres, déjà tombés en désuétude. Pierre Michon pénètre les vies de ses ancêtres, anodines, infimes, parcellaires : minuscules. Malgré ou à cause de l'insuffisance des existences, l'écrivain défriche, le temps de l'écriture, ces vains terrains vagues qu'envahissent à nouveau les mauvaises herbes de l'insipide dès la plume reposée. Nul apitoiement. De la dureté plutôt, si elle ne se mêlait à une indescriptible émotion. Compatissante ? Empathique plutôt car Michon ne saurait s'épargner lui-même. Pour dire l'insignifiance déchirante de ces destins, la langue, curieusement, est chatoyante, dense, le récit profus, riche en références : dérision ultime lancée par l'auteur, soubresaut révolté du dire défectueux, inachevé, impuissant comme le reste à retenir l'éphémère. Même si "les petites gens" ne sont pas "plus réelles que les autres", selon l'exergue, elles détiennent pour Pierre Michon une vérité infaillible et alimentent, en plus de ce premier roman, la demi-douzaine de récits qui compose son oeuvre dont L'Empereur d'Occident, Maîtres et serviteurs... --Laure Anciel
Par J.B.
Les vies sont minuscules mais les personnages ont de l'épaisseur. On hésite entre s'émerveiller du texte et rouspéter contre sa lourdeur, entre abus et abondance. L'art littéraire de Pierre Michon est celui de la phrase interminable, de l'évocation plus que de la description, on en a pour son pesant de littérature. On s'énerve à se perdre, il faut reprendre la page ou plusieurs pages pour retrouver le ou les sens, redémarrer au début du chapitre, décortiquer les sens qu'il entrecroise pour son plaisir, On menace d'abandonner quand une phrase lumineuse et savoureuse nous relance dans la lecture. A des endroits, on a l'impression que Pierre Michon en fait trop, qu'il se gargarise, puis à d'autres qu'il touche au sublime. Il faut du temps et de la concentration pour être récompensé de l'effort. Huit vies. Huit noms, à peine écrits en titre des chapitres, déjà tombés en désuétude. Pierre Michon pénètre les vies de ses ancêtres, anodines, infimes, parcellaires : minuscules. Malgré ou à cause de l'insuffisance des existences, l'écrivain défriche, le temps de l'écriture, ces vains terrains vagues qu'envahissent à nouveau les mauvaises herbes de l'insipide dès la plume reposée. Nul apitoiement. De la dureté plutôt, si elle ne se mêlait à une indescriptible émotion. Compatissante ? Empathique plutôt car Michon ne saurait s'épargner lui-même. Pour dire l'insignifiance déchirante de ces destins, la langue, curieusement, est chatoyante, dense, le récit profus, riche en références : dérision ultime lancée par l'auteur, soubresaut révolté du dire défectueux, inachevé, impuissant comme le reste à retenir l'éphémère. Même si "les petites gens" ne sont pas "plus réelles que les autres", selon l'exergue, elles détiennent pour Pierre Michon une vérité infaillible et alimentent, en plus de ce premier roman, la demi-douzaine de récits qui compose son oeuvre dont L'Empereur d'Occident, Maîtres et serviteurs... --Laure Anciel
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